En 2020, le SMEA a lancé une étude de faisabilité technique et économique pour le développement de « cultures à bas niveau d’impact » (BNI) favorables à la qualité des ressources.
Celle-ci a été confiée au bureau d’études CERESCO qui a recensé les besoins des opérateurs économiques locaux et les possibilités de développement en fonction des conditions pédoclimatiques.
L’étude a été conduite en deux phases :
- Phase 1 : Analyse et définition des besoins exprimés par les opérateurs locaux :
- Caractérisation du contexte et approche des potentialités ;
- Identification de 4 filières à investiguer : le miscanthus, le chanvre, les céréales rustiques et BNI et l’agriculture biologique ;
- Phase 2 : Synthèse du potentiel de développement des filières retenues à l’issue de la phase 1 :
- Définition des potentialités de développement ;
- Définition d’une stratégie d’intervention à mettre en œuvre sur les AAC pour les 3 filières suivantes : le chanvre, les céréales rustiques et BNI et l’agriculture biologique. Le miscanthus n’a pas été étudié plus finement en raison d’une stratégie très clairement identifiée dès la phase 1.
A l’issue de la présentation des conclusions de l’étude et des potentiels de développement présentées en octobre 2021, une feuille de route a été remise pour ces filières avec notamment une animation nécessaire pour le développement et la structuration des filières suivantes : le miscanthus, le chanvre et les céréales rustiques et BNI.
Au cours de l’année 2022, le SMEA et la Chambre d’Agriculture vont dédier un temps d’animation à l’émergence et/ou à la structuration de ces filières.